Un chemin sûr pour trouver le bonheur dans la vie

Comment et où trouver le bonheur ?

C’est la préoccupation de tout un chacun, même si la définition du bonheur diffère d’un individu à l’autre.

Je n’avais pas une idée précise de ce qu’était ma définition. Quoi qu’il en soit, je l’ai trouvé, le bonheur. Et je ne peux juste pas m’empêcher de te partager mon cheminement pour le trouver.

Trouver le bonheur grâce à la nouvelle naissance

Trouver le bonheur en suivant un chemin sûr

Le confort matériel : un bonheur éphémère

Je suis née dans un foyer qui ne roulait pas sur l’or mais qui possédait plus que le strict minimum. Mes parents étaient tous les deux ingénieurs et participaient à deux au financement de la vie du ménage. Ils pourvoyaient à tous mes besoins caprices.

À la maison, tout allait vraiment bien. À l’école, c’était aussi la belle vie : un collège et un lycée de prestige, des amies fidèles, d’excellents résultats scolaires.

En résumé, jusqu’à l’âge de 18 ans, j’avais une vie confortable, tant matériellement que socialement. Je ne pensais clairement pas à trouver le bonheur. J’étais heureuse.

 

Puis, fraîchement majeure, le baccalauréat de fin de lycée en poche, me voilà donc avec mon premier job, dans la société de ma mère. C’était cool de pouvoir payer ses caprices… Et surtout de ne pas devoir rendre compte (haha !).

Sauf que mes premières vraies galères sont apparues à cette époque, avec mon premier petit ami, on va dire, sérieux. Ma vie devint franchement horrible au bout de six mois de relation. Doute, tristesse, angoisse, déception et colère rivalisaient au quotidien. Alors, je réalisais et encourageais un tas de pratiques auxquelles je n’adhérais même pas, en pensant pouvoir ainsi améliorer notre relation.

 

J’étais totalement dans le péché avec une apparente vie sage et posée.

Pourtant, j’avais de l’argent, je voyageais à travers tout Madagascar dans le cadre de mon travail. Mais ma vie intérieure rimait avec chaos et malheur.

Trouver le bonheur nécessite d’être sauvée

C’est là que je me suis souvenue d’un sauveur : Jésus.

En fait, Il était pour moi une vieille connaissance. À mes yeux, ma famille, surtout maternelle, croyait en Lui depuis toujours. Ma grand-mère maternelle parlait énormément de Lui. Je savais qu’on l’appelait Sauveur.

 

Donc j’ai supplié Jésus, littéralement à genoux, de me sauver… de me sortir de l’enfer que je vivais. Pour la première fois, je voulais réellement (re)trouver le bonheur.

C’était un après-midi d’août 1997.

Et Il m’a exaucée.

J’ai eu la force de rompre avec ce garçon quelques semaines plus tard. Le mec n’en revenait pas (lol).

 

A première vue, j’étais sortie de l’auberge.

Sauf que j’avais la foi en Jésus sauveur. Mais sauveur de quoi ? Je ne savais pas exactement.

 

En tout cas, j’ai quand même informé mes parents que je souhaitais suivre la formation pour approfondir ma foi et ma connaissance de Jésus auprès d’un pasteur protestant ami de la famille, puis être confirmée au bout d’une année.

C’est comme ça que le 17 décembre 1998, j’ai été confirmée dans une petite église protestante où allait régulièrement ma grand-mère maternelle.

Mais le bonheur éternel est surnaturel

Tu sais lors de la confirmation, il y a un texte de vœu à apprendre par cœur. Je l’ai appris et récité : prier et lire la Bible chaque jour autant que je peux, se plier aux décisions prises par l’assemblée, etc.

Ces pratiques étaient utiles pour approfondir et garder la foi d’après ce qu’on nous a appris.

Alors, j’ai essayé de respecter ce vœu tant bien que mal. J’ai cultivé ma foi en allant à l’église régulièrement. Tantôt à l’église anglicane, tantôt  à l’église protestante. Puis après mon mariage en 2002, j’ai intégré l’église protestante traditionnelle de mon mari.

En 2015, j’y fus élue diacre.

 

C’est lors de ma formation pour ce « poste » que le surnaturel est arrivé.

 

Y avait un jour consacré au jeûne et à la prière lors de cette formation.

C’est ce jour-là que Dieu m’a donné la réelle foi en Jésus Sauveur. Qu’Il m’a permis d’intégrer totalement que Jésus est mort à la croix pour moi, à cause de MES péchés. 

Ce jour-là a eu lieu ma nouvelle naissance en Dieu, ma régénération.

 

Je me rappelle que le pasteur nous a demandé de choisir chacun un coin tranquille et de nous repentir de tous nos péchés.

Et je l’ai fait.

Pourtant, la repentance est un fruit de la nouvelle naissance.

Alors, pour moi, cette séance se résumait à 3 éléments : pleurs, à genoux, péchés. 

J’ai passé près d’une heure à pleurer à genoux à me repentir de mes péchés. Et c’était absolument dingue car quand j’ai commencé à citer un péché, un tas d’autres sont revenus à ma mémoire. Y en a eu des très anciens que j’avais oublié.

C’était hyper intense.

Et tellement libérateur.

 

Au bout, j’ai réalisé que Jésus m’a sauvée de l’emprise du péché. Et que j’ai reçu le pardon de tous mes péchés grâce à Lui.

Là, j’ai réellement trouvé le bonheur.

Une nouvelle naissance pour trouver le bonheur

Nouvelle naissance : le point de départ d’une vie de bonheur

Ma nouvelle naissance eut lieu un jour d’octobre 2015.

Après ce moment, j’avais une soif quasi permanente d’en savoir plus : quelle est la vraie définition de chrétien, qu’en est-il réellement du baptême, que signifie être sauvé, etc.

J’avais un désir viscéral de connaître Jésus.

 

Mais chose relativement bizarre (surnaturel en somme !), je ne faisais aucun effort pour avoir cette soif. C’était juste comme un besoin incontrôlable provenant de mon profond intérieur.

Avec le recul et ma compréhension actuelle de la Parole de Dieu, c’était complètement normal, car la nouvelle naissance ne vient pas de nous. Elle vient de Dieu.

 

Ce jour d’octobre 2015, j’avais tout simplement reçu le Saint-Esprit en cadeau et c’est le Saint-Esprit qui m’a guidée.

Donc pour assouvir ma soif,

J’ai « embêté » pas mal de gens (merci à eux) et écumé un bon nombre de sites internet. J’ai aussi intégré un groupe d’étude biblique en anglais, la Bible Study Fellowship, que je recommande vivement.

 

A travers tout cela, le Saint-Esprit m’a surtout révélé la marche à suivre pour devenir un vrai disciple de Jésus. Et il m’a mis à cœur de passer par les eaux du baptême par immersion : l’acte qui affirme publiquement ma foi en Jésus et mon union à Sa mort et Sa résurrection.

Le baptême est également un acte d’obéissance à Dieu.

Me voilà donc de nouveau en quête. Cette fois-ci du lieu de baptême et de la personne qui allait me baptiser, car l’église où j’allais devenir diacre ne répondait pas à mes besoins.

Je cherchais parmi mes amis, et par le biais d’amis, un pasteur qui pouvait me baptiser.

Je n’ai abouti à rien.

 

Puis un matin de juillet 2017, à mon réveil, alors que j’avais presque abandonné l’idée, le Saint-Esprit m’a révélé le nom de la personne qui allait me baptiser. C’était une déclaration à peine audible… « C’est Muriel qui va te baptiser ». J’ai timidement demandé à cette amie si elle pouvait le faire. Elle m’a répondu « ouiii, j’ai aussi reçu cette nuit que j’allais te baptiser ».

C’était juste WOW, j’en ai pleuré de joie.

 

Mon baptême par immersion eut lieu le 23 août 2017.

Et comme pour bien me confirmer qu’il n’est aucunement question de dénomination d’église ni de religion dans cet acte, Dieu a arrangé l’événement dans un endroit qui a définitivement cassé toutes mes anciennes croyances.

Eh oui ! J’ai été baptisé dans le petit bain d’une piscine privée.

Par une amie (qui n’est pas pasteure).

Et avec 3 autres personnes dont j’ignore encore aujourd’hui l’église qu’elles fréquentaient.

Et une fois sortie de l’eau, Muriel et ses amis ont prié pour moi et j’ai vécu un moment particulier avec le Saint-Esprit (comme ce qui est relaté dans le livre des Actes dans la Bible).

 

Ce 23 août 2017, l’ancienne moi fut définitivement morte et enterrée comme dit l’expression.

Trouver le bonheur et le garder

Trouver le bonheur dans une vie de paix et de joie intérieures permanentes

Depuis ce 23 août 2017, ma vie a complètement changé. Et quatre choses demeurent dans mon quotidien :

  • Une paix et joie intérieures : permanentes… peu importe le moment, la circonstance, les personnes en face ou le montant sur mon compte bancaire ;
  • Une liberté : de vivre paisiblement dans le monde tout en restant en accord avec la volonté de Dieu, de Le louer et Le glorifier partout et tout le temps ;
  • Une relation directe avec Dieu : à qui je peux me confier en tout temps et pour n’importe quel aspect de ma vie. Il est mon Papa céleste… et à chaque fois je ressens Sa grâce, Sa bienveillance et Son amour.
  • Un courage et une assurance : dans le témoignage de ce que j’ai vécu, dans le partage de l’Évangile et la promotion du Salut en Christ.

Il va sans dire que je suis encore loin d’être parfaite mais le Saint-Esprit me façonne à l’image de Jésus, en ajustant chaque jour ma personnalité à ressembler un peu plus à la Sienne : c’est ce qu’on appelle la sanctification.

Mais aujourd’hui, j’atteste que ce bonheur accompagnant la nouvelle naissance n’est comparable à aucune autre forme de bonheur que j’ai connue auparavant.

À toi qui me lis, si ce n’est pas encore le cas, je te souhaite vraiment de trouver ce bonheur-là !

 

Sois abondamment bénie !

Qui suis-je ?

Je suis une chrétienne, maman et solopreneure. Je suis assistante virtuelle, partenaire des mamans entrepreneures pour qu’elles aient plus de temps (à consacrer à leurs enfants et leur cœur de métier), plus de sérénité et une organisation plus efficace. 

Tu trouveras des informations sur moi ici, et mes services .

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